« Ayé : on a intégré l’IA dans la boîte »

Traduction : un stagiaire a testé Midjourney et deux prompts traînent dans Notion.

L’IA ne s’intègre pas avec un outil.
Elle s’intègre avec un changement de méthode.

La vraie IA, celle qui crée du ROI, c’est :
→ Des processus cartographiés, repensés, automatisés
→ Des rôles redéfinis pour travailler avec l’IA, pas à côté
→ Des équipes formées à piloter, itérer, challenger leurs assistants intelligents
→ Un comité IA qui pilote les priorités, les risques, les usages

Mais ça, c’est complexe.
C’est politique.
C’est long.

Alors on préfère raconter qu’une banque de prompts dans Notion et une liste d’outils Google Sheet = transformation.

Résultat ? On vend du rêve.
Et dans 6 mois, on dira “l’IA c’est surcoté”.

Non. L’IA, c’est surtout mal compris. Et tant que ca changera pas, on restera à la traine.

Morgan – 🐔

Un bricoleur pense outil. Un bâtisseur pense process.

Le référencement ça prend du temps

Et non seulement ça prend un temps de dingue, mais ça ne rapporte rien dans l’immédiat. Voilà. Bon, déjà, comme chacun sait, faire un truc qui tient la route, demande du temps. Pas de secret.

Pour améliorer le référencement de votre site, vous devez identifier d’abord les points à améliorer. Ensuite et ensuite seulement – il faut élaborer un plan d’attaque, l’executer, puis observer les résultats de ces changements au fil du temps. Parfois, vous effectuez des changements importants, parfois plus modestes, mais qui semblent moins importants. Mais avec le temps, ils s’accumuleront et amélioreront progressivement votre site. Mais c’est long. Six mois, minimum.

Chaque modification ou amélioration que vous apportez met du temps à être remarquée – ou pas – par Google. Google doit ensuite les prendre en compte dans son algorithme de classement qui est archi hypra complexe (pour ne pas dire imbitable). Ne vous inquiétez donc pas si vous n’obtenez pas les résultats escomptés après quelques semaines, voire quelques mois. Gardez simplement à l’esprit que cela prend du temps et continuez à améliorer chaque aspect de votre site web au maximum de vos capacités ! Et en respectant la stratégie définie en début de texte.

Alors ok mais par où commencer ?

Tout améliorer en deux temps et en trois clics est impossible, il faut le prendre par un bout. Heureusement, il existe de nombreuses façons d’attaquer la falaise sans trop se prendre la tête :

  • Chat GPT (ou son copain Gemnin, CoPilot, Mistral et consorts) est un excellent allié pour vous assister dans ce domaine
  • Se fixer un objectif simple, bête et con mais surtout facilement atteignable genre « je poste un texte par mois » sur 6 ou 8 mois.
  • Une once millimétrée de pratique vaut mieux que 1000 volumes de théories.

IA et marketing digital à Niort

Accompagner les entreprises locales sans blabla

À Niort, on parle souvent d’assurance, parfois d’innovation, et maintenant un peu d’IA. Mais entre les promesses qui volent de partout et les outils qui changent tous les trois mois, beaucoup de chefs d’entreprises se demandent surtout :
“Concrètement, qu’est-ce que ça peut m’apporter à moi ?”

Je m’appelle Jean-Christophe Gilbert, j’habite et travaille à Niort, et j’aide les entreprises locales à comprendre et utiliser l’intelligence artificielle et le marketing digital… sans jargon, sans bullshit, et surtout avec des résultats utiles.


Mon approche

Je bosse comme un artisan, donc je pars toujours du réel : ton activité, ton temps, tes priorités. Pas besoin de plan stratégique à 40 slides ou de chatbot cosmique. On regarde ce que tu veux atteindre — plus de visibilité, de clients, de sérénité — et on construit à partir de là.

👉 Je peux t’aider à :

  • mettre un peu d’IA dans ton quotidien sans t’arracher les cheveux,
  • améliorer ton référencement local (que ton site sorte enfin quand on tape ton nom ou ton métier),
  • mettre en place une vraie présence digitale (Google, mailings, réseaux sociaux, pub si besoin),
  • automatiser ce qui te prend trop de temps.

Pourquoi faire appel à moi ?

Parce que je suis du coin, que je connais les réalités des entreprises niortaises, et que je ne vends pas du rêve : je vends du concret. J’ai bossé avec des artisans, des PME, des indépendants, des projets culturels — à chaque fois, on s’adapte, on avance, on teste, on apprend.


Et l’IA dans tout ça ?

L’IA, c’est pas (que) des robots et des licenciements. C’est surtout un formidable levier de gain de temps et de clarté, quand on l’utilise bien. Je peux te montrer comment t’en servir pour :

  • rédiger plus vite (mails, posts, fiches produits…),
  • mieux comprendre tes clients,
  • ou simplement réfléchir autrement.

En résumé

Tu veux en savoir plus ?
👉 On peut en parler tranquillement autour d’un café à Niort (ou en visio si t’es pressé).

Dis-moi juste deux lignes sur ton besoin ici : formulaire de contact


Note : certains outils d’intelligence artificielle ont été utilisés comme aide la création de cet article. Mais le contenu a été édité, modifié et approuvé par un humain – à savoir Bibi – afin de valider et d’augmenter sa pertinence.

Je cherche à comprendre

Mon métier est d’aider à clarifier, construire et faire performer avec de l’IA : site WordPress, acquisition, emailing, SEO, pubs. On mesure ce qui compte, mais pas que.

Ce que je fais (aussi concrètement que possible)

  • Stratégie & offre : positionnement, parcours client, plan d’action 30/60/90 jours.
  • WordPress : sites rapides et propres (Astra, WooCommerce, membres, PWA).
  • Acquisition : SEO, contenu, réseaux sociaux “sans toxique”.
  • Emailing & automation : Brevo / MailPoet, délivrabilité, segmentation.
  • Ads malines : Meta & Google Ads, budgets maîtrisés.
  • Mesure & Datadoc : un reporting clair qui mène à des décisions, pas à des excuses.
  • Événements & lancements : com’, billetterie, rétroplanning béton.

Je travaille comme un artisan

  1. Audit express (45–90 min) pour voir vite ce qui bloque et ce qui peut scaler.
  2. Feuille de route priorisée, simple et datée.
  3. Sprints courts, points mensuels, livrables visibles.
    Tarifs transparents, pas de jargon, pas d’effet tunnel et encore moins d’usine à gaz.

Pour qui ?

TPE/PME, projets culturels, e-commerce, restauration, industrie, équestre…
Basé à Niort, j’accompagne des équipes dans le coin, c’est mieux.

Mes objectifs sont simples

  • Un site qui charge vite et convertit.
  • Des campagnes qui rapportent (et pas juste des “vues”).
  • Des décisions sereines grâce à des chiffres lisibles + des verbatims clients périodiques.

Voilà pour l’essentiel.

Ce qui ne se mesure pas n’existe pas. Ah bon ?

On entend cette phrase partout. Elle a été mon mantra pendant des années. Faut dire qu’elle claque bien, elle rassure, elle fait “pro” tout ça. Sauf qu’elle est fausse — ou, disons, incomplète. Ce qui ne se mesure pas existe très bien… mais ça ne s’administre pas tout seul. L’enjeu n’est pas de tout réduire à des chiffres, c’est de rendre le sens visible sans l’abîmer.

Pourquoi on aime tant les chiffres ?

Parce qu’ils rassurent. Un taux d’ouverture, un panier moyen, une part de marché : ça tient sur une slide, ça compare, ça tranche. Les métriques éclairent le chemin, montrent si on progresse, et te permettent d’arbitrer vite. Sans mesure, on pilote à l’instinct — et l’instinct, c’est super, mais ça a aussi ses angles morts.

Le piège ? Quand la mesure devient l’objectif. On finit par optimiser l’indicateur plutôt que la réalité. Tu connais le truc : on “booste” le clic au détriment de la satisfaction, on traque l’algorithme au lieu de parler aux humains, on publie plus parce que le tableau de bord aime les volumes… alors que la vraie valeur se joue ailleurs.

Les dégâts quand on confond métrique et réalité

  • On perd la boussole. Un “+12 %” peut cacher une dérive (plus de vues, moins de clients heureux).
  • On décourage les équipes. Si tout ce qui compte doit tenir dans un KPI, la créativité se contracte.
  • On tue le long terme. Le court terme est hyper mesurable ; la confiance et la marque, moins. Devine qui gagne quand on ne regarde que les chiffres faciles ?

Bref, tout mesurer n’est pas – n’est plus – synonyme de mieux gérer. C’est comme conduire en ne regardant que le compteur : tu connais ta vitesse, pas la route.

Ce qui compte mais se mesure mal (et comment l’attraper sans le dénaturer) ou quelques petits trucs que j’utilise

  • La confiance. Plutôt que “inventer” un chiffre, fais un baromètre qualitatif trimestriel : 5 questions courtes, réponses ouvertes, même échantillon, même rituel. Tu ne réduis pas la confiance à un score, tu suis son histoire.
  • La clarté. Utilise un test des 5 secondes sur tes pages clés : qu’est-ce que tu proposes ? pour qui ? pourquoi c’est mieux ? Si 8/10 pigent l’essentiel, tu es clair. Sinon, on réécrit.
  • La communauté. Observe les signaux faibles : réponses entre membres (pas à la marque), échanges spontanés, entraide. Ce n’est pas un KPI, c’est une boussole.

Ce qui ne se mesure pas… existe, et c’est même précieux

La curiosité d’un client qui te pose une vraie question. La confiance qu’un partenaire te témoigne. Le frisson quand une idée tombe juste. Tu peux objectiver une partie de tout ça, mais garde-toi de l’aplatir. La bonne métaphore, c’est le cockpit : les instruments (métriques) sont vitaux, mais le pare-brise (le réel) l’est tout autant. Tu jettes un œil aux deux, en permanence.


En résumé :

  • Mesure ce qui t’aide à décider, pas ce qui flatte ton ego.
  • Ajoute des rituels qualitatifs pour – essayer de – capter le sens.
  • Protège tes garde-fous pour ne pas gagner au mauvais jeu.

“Ce qui ne se mesure pas n’existe pas” ? Non.
Ce qui ne se mesure pas demande aujourd’hui un autre type d’attention. Et souvent, c’est là que se cache ton avantage.

Promis, ton prochain tableau de bord fera parler les chiffres et les humains.

En début d’année, je me suis posé une question con : est-ce qu’on peut créer un réseau social local, sans pub, à taille humaine ?

6 mois plus tard, ma réponse est : oui. Revolucion.fun n’est ni Facebook, ni Insta, ni TikTok… Mais si tu veux poster une photo, partager un texte, ou juste traîner dans un fil d’actus pépère et sans haines, eh beh oui… ça fonctionne. C’est minimaliste. C’est libre. C’est local. C’est déjà un peu vivant.


🚩 L’étape suivante, c’est quoi ?

Pas de levée de fonds en mode start-up, ni de pitchs devant des business angels à la con, j’ai passé l’âge. Juste trouver de quoi faire tourner le truc : hébergement, développement, modération, etc. Sans pub. Sans algorithmes foireux.


🧩 Et là, j’hésite.

Je pourrais :

  • Monter une association loi 1901
  • Passer par un éventuel néo statut d’entrepreneur individuel
  • Créer une petite coopérative
  • Ou inventer un autre modèle… avec vous ?

🎯 L’idée, c’est de développer un modèle soutenable pour un réseau social local, libre, indépendant.

Et comme ce réseau, il est pour nous, eh bien je me suis dit que tiens, c’est l’été, vous auriez peut-être des idées, des envies, des suggestions ?

👉 Vous en pensez quoi ? Vous seriez partant.e.s pour soutenir ça ? Sous quelle forme ? Asso, cagnotte, adhésion, dons, pierres précieuses, fromage de chèvre ?


💬 J’attends vos retours sur Linked In. Et merci d’être là. Même en plein mois d’août et en néo retraité, c’est bon de sentir que le lien social, ça se cultive. 🌱