Je cherche à comprendre comment fonctionne l’intelligence artificielle (avec mon bac-1)

Oui, bon, ok, j’ai foiré l’école. Et je me suis retrouvé avec deux bacs : un d’eau chaude et un d’eau froide (la vanne est de Bernard Loiseau).

On en parle partout. Elle écrit, elle dessine, elle compose de la musique, elle joue aux échecs et au Go (et nous colle une belle taule), elle papote comme un vieux copain sur WhatsApp… et parfois, elle nous fait un peu flipper. Mais au fond, comment ça marche cette fameuse Intelligence Artificielle ? Est-ce qu’elle est vraiment « intelligente » ? Est-ce qu’elle va nous piquer notre boulot ? Est-ce qu’elle comprend ce qu’elle dit ? Spoiler : non, non, et toujours non.

Et pourtant, elle fait des trucs bluffants. Alors, on va décortiquer ça ensemble. Tu verras, rien de sorcier : un peu de math, un peu d’analogies potagères, et beaucoup de neurones (pas forcément les tiens, mais ceux du réseau).


Acte 1 : Ce que l’IA est (et n’est pas) à l’été 2025

D’abord, soyons clairs : nous n’en sommes qu’au tout début du truc. L’IA, aujourd’hui, c’est l’arrivée d’un train en gare de La Ciotat ou l’arroseur arrosé au cinoche. On est au début de quelque chose. A ce jour – donc : l’IA, ce n’est pas une personne. Elle n’a ni conscience, ni intention, ni bon sens. Elle n’a pas d’ego (heureusement), pas trop d’humour (à part malgré elle), et encore moins de désir de conquérir le monde (elle a déjà assez à faire avec des captcha). C’est une technologie qui apprend à partir des données. Point.


Acte 2 : Le moteur de l’IA, c’est un truc qui s’appelle le Machine Learning

Imagine que tu veuilles apprendre à une machine stupide (genre un ordinateur) à reconnaître un vélo. Tu peux :

  1. Lui donner une définition (2 roues, un guidon, une selle, etc.)
  2. Lui montrer 10 000 photos de vélos et lui dire à chaque fois : « ça c’est un vélo », « ça non », « ça oui ».

Eh bien, la première méthode, c’est l’ancienne école. La seconde, c’est le machine learning. Le système apprend par l’exemple. Il repère des régularités. C’est pas qu’il comprend ce qu’est un vélo, c’est qu’il repère que, statistiquement, les trucs qu’on appelle « vélo » ont tel ou tel look.


Acte 3 : Et les réseaux de neurones dans tout ça ?

Ahhh, les réseaux de neurones ! On y vient. C’est le cœur battant de presque toute l’IA aujourd’hui. C’est eux qu’on utilise pour la reconnaissance d’image, la voix, le langage, les voitures autonomes, et même pour faire chanter des IA à la place d’Elvis. Ou Imagine par Mc Cartney.

🧠 Pourquoi « neurones » ?

Parce que c’est inspiré du cerveau humain. Très vaguement, mais un peu quand même. Ce serait comme dire que ton grille-pain est inspiré du soleil. Mais l’idée est là : plein de petites unités (les neurones artificiels) connectées entre elles, qui reçoivent une info, la transforment, puis la transmettent à d’autres.

🧱 Comment c’est foutu ?

Un réseau de neurones, c’est comme un millefeuille :

  • Une couche d’entrée (qui reçoit les données brutes)
  • Une ou plusieurs couches cachées (où la magie opère… ou pas)
  • Une couche de sortie (qui balance une réponse)

Chaque neurone est connecté à plein d’autres, avec des poids. Ces poids sont des chiffres qui déterminent l’importance de chaque connexion. Quand on entraîne le réseau :

  • Il reçoit une entrée (ex : une image de chat)
  • Il fait des calculs à chaque étage du réseau
  • Il sort une réponse (« chat » ou « pas chat »)
  • Et s’il se plante… on ajuste les poids (grâce à un processus appelé rétropropagation — le yoga de l’IA)

🧪 Un exemple concret : reconnaître un chiffre manuscrit

Prenons un réseau qui doit reconnaître le chiffre 7 écrit à la main :

  • Tu lui montres 10 000 exemples de « 7 »
  • Il apprend à repérer les traits verticaux + la petite barre horizontale
  • Il ajuste ses connexions internes pour sortir « 7 » dès que ça ressemble à un « 7 »
  • Et ainsi de suite pour les 0 à 9

Plus tu le nourris de données, plus il devient bon. Et parfois, il devient très très bon (au point de te battre aux échecs à 3 coups d’avance !).


Acte 4 : L’IA générative, c’est encore un réseau de neurones ?

Oh que oui. Ce que font Midjourney, Chat GPT4 ou DALL·E avec des images, ce sont des modèles de réseaux de neurones gigantesques, avec des milliards de paramètres. On les appelle transformers (rien à voir avec Optimus Prime, dommage), et leur grande force, c’est qu’ils peuvent analyser un contexte large (un paragraphe entier, une suite de mots, une image entière) pour produire quelque chose de nouveau. Encore une fois : ils ne « comprennent » pas ce qu’ils produisent. Mais ils sont entraînés à prédire ce qui vient après, mot après mot, pixel après pixel.


Acte 5 : Alors, est-ce que l’IA pense ?

Non. L’IA ne pense pas. Pas encore, en tou cas. Aujourd’hui, c’est irréfutable : elle calcule. Elle n’a pas d’intention, pas de but propre. Elle fait ce pour quoi on l’a programmée — ou entraînée — sans jamais sortir du cadre. C’est comme un moulin à vent : tant qu’il y a du grain (les données) et du vent (la puissance de calcul), ça tourne. Mais il ne se demande pas si le pain sera bon. Ou cher. Ou je-ne-sais-quoi.


Acte 6 : Les limites de l’IA aujourd’hui à l’été 2025

  • Biais : Si tu entraînes ton IA sur des données biaisées, elle le sera aussi. Elle ne devine pas ce qui est juste ou faux. Elle reflète ce qu’on lui donne.
  • Hallucinations : L’IA générative peut inventer des infos. Elle « remplit les blancs » même si elle ne sait pas. Quiconque l’utilise un tout petit peu sait que, parfois, l’IA débite des conneries à pleins tuyaux.
  • Opacité : Les réseaux de neurones sont parfois des boîtes noires. Difficile de dire pourquoi ils donnent telle ou telle réponse. Difficile de comprendre le fonctionnement.

Acte 7 : Pourquoi c’est si important de comprendre ?

Après tout ? Pourquoi la terre est ronde ? L’atome existe ? Eh bien parce que l’IA va faire partie de tous les métiers, toutes les boîtes, tous les secteurs. Et il ne s’agit pas forcément de devenir ingénieur, mais de savoir comment ça marche, ce que ça peut (ou pas) faire, et ce que ça implique. Bref :
– Pour ne pas être dépassé.
– Pour ne pas lui confier les clés sans comprendre à qui tu les donnes.
– Et pour pouvoir en parler en connaissance de cause à un copain, un collègue ou ton conseiller retraite (bon ok, peut-être pas lui), le mieux, comme le vélo cité plus haut, c’est de pratiquer (c’est totalement gratuit) et c’est par ici : https://chagpt.com

Tu me remercieras plus tard, j’ai l’habitude.

IA, productivité et coups de gueule

Y a toujours un moment où les vieux gueulards de servicent râlent quand une nouvelle technologie débarque. Et là, c’est l’IA qui se prend des tomates. Certains auteurs montent au créneau, des musiciens crient au scandale, et des photographes continuent de fulminer contre l’iPhone. Mais si on regarde bien, l’histoire nous a déjà joué ce film. 1000 fois ! Et devine quoi ? À la fin, c’est toujours la productivité qui rafle la mise. Alors plutôt que de chialer dans le rétro, on ferait peut-être mieux d’apprendre à danser avec la bête.


Productivité, IA et résistance au changement

Les typographes ont fait la gueule quand l’imprimante laser a débarqué. Les photographes de mariage ? Toujours pas remis de l’iPhone. Et maintenant, y a des musiciens qui montent au créneau parce que l’IA commence à pondre des tubes en carton. Dernier épisode en date : un groupe d’écrivains un peu vénères demande aux éditeurs de boycotter l’IA. Pas d’IA pour les couvertures, pas d’IA pour les bouquins audio, rien. Nada.

Autant pisser dans un violon.

Platon, déjà à l’époque, flippait que l’écriture ruine la mémoire. Et je suis sûr que quelques scribes ont vu l’imprimerie comme l’Armageddon culturel. Pourtant aujourd’hui, tout le monde utilise un correcteur, les gratteux s’accordent en deux secondes avec un accordeur électronique, et les photographes shootent à la rafale numérique comme si de rien n’était.

La productivité finit toujours par gagner la partie.

Parce qu’au fond, elle ne regarde pas comment on fait les choses, mais ce que ça donne à la sortie. Si tu crées plus de valeur, plus vite, c’est bingo pour tout le monde.

Personne ne se plaint que les routes soient faites par des machines au lieu d’une armée de gars à la pelle. Personne ne râle de prendre la caisse plutôt que de faire 15 bornes à pied. On mange dans des restos au top qui ont des congélos, et on écrit au bic, pas à la plume d’oie.

L’IA, c’est pareil : le vrai défi, c’est pas de l’empêcher de bosser — elle s’en fout, elle bossera quand même — c’est de trouver comment nous, humains, on peut apporter encore plus de valeur dans ce monde qui change.

Quand on amène du vrai, du sensible, du vivant là où ça compte, notre taf redevient précieux. Humain, quoi. Et respecté.

Le plus ironique dans l’histoire ? C’est que l’ère industrielle a passé son temps à vouloir nous transformer en robots : pas trop d’initiative, surtout bien suivre le mode d’emploi. L’école nous a dressés à répondre à la question : “Est-ce que ce sera au contrôle ?” comme si c’était ça, la vie. On nous a rangés dans des cases avec un petit nom : “ressources humaines”. Charmant, non ?

Et maintenant qu’on a des ordis balèzes capables de faire les tâches qu’on nous avait appris à faire au carré… ce qui fait la différence, c’est notre côté humain.

Regarde la peinture : depuis l’invention de la photo, plus besoin de peintres pour faire des portraits fidèles. Mais les artistes, les vrais, ceux qui posent du sens, de l’émotion, du style sur une toile ? Ceux-là ont trouvé leur public. Parce que c’est inefficace, oui. Et justement, c’est ça qui plaît.

Les systèmes sont costauds. Ils avancent. Et ils servent ceux qui savent s’en servir.

Alors oui, tu peux continuer à croire qu’on aura notre mot à dire sur ce que l’IA va nous piquer ou pas.
Mais faut pas rêver. On l’aura pas.

Ce qu’on a, en revanche, c’est le choix. Soit on subit, soit on s’adapte.
Soit tu bosses pour l’IA… soit tu la fous au turbin pour toi.

IA, productivité et coups de gueule

Sécurité en ligne : les nouvelles règles du jeu pour – essayer de – ne pas devenir complètement dingo !

J’ai passé une bonne partie de la semaine à ferrailler avec Meta ADS pour qu’ils arrêtent de me bloquer mon compte publicitaire (7 fois). Idem avec Stripe la semaine d’avant #grrr.

Voici, en gros, ce qu’il faut retenir pour mieux comprendre pourquoi vous risquez de passer vous aussi des heures carrées dans les semaines à venir à discuter avec un chatbot à la con (pléonasme) pour reconfigurer vos profils Stripe, Meta ADS, Google et caetera.


1. Renforcement de la directive européenne PSD2 et ses équivalents

La directive sur les services de paiement 2 (PSD2), entrée en vigueur il y a quelques années, oblige déjà à une authentification forte du client (SCA), mais certains pays et institutions financières vont encore plus loin désormais. En bref :

  • Déploiement accru de l’authentification biométrique, notamment par reconnaissance faciale ou empreinte digitale.
  • Connexion à un compte bancaire ou paiement = double voire triple vérification.
  • Plus d’accès direct à tes données bancaires par des applis tierces sans consentement formel et traçable.


2. Déploiement de normes internationales en cybersécurité (ISO/IEC 27001)

De nombreuses institutions financières adoptent ou renforcent leur conformité à la norme ISO/IEC 27001, une norme de gestion de la sécurité de l’information. Objectif : limiter les fuites de données, les ransomwares et les piratages ciblés sur les clients fortunés ou les PME peu protégées. Les assureurs, les banques, et même certains États imposent cela à leurs partenaires.


3. Accords internationaux contre le blanchiment numérique (AML/CFT 2024)

Le GAFI (Groupe d’Action Financière) a mis à jour ses recommandations : les pays membres doivent désormais mieux tracer les flux financiers suspects liés aux rançongiciels ou à la fraude en ligne. Surveillance accrue des transactions cryptos et plateformes DeFi.


4. Tokenisation et sécurité des actifs numériques

Les banques centrales (notamment l’Union Européenne avec l’euro numérique) investissent dans des monnaies numériques sécurisées avec des dispositifs anti-fraude dès la base. Et dans la finance privée, des plateformes comme Mastercard et Visa testent la tokenisation des paiements : ton numéro de carte est remplacé par un « jeton » unique, inutilisable ailleurs.


5. Systèmes d’IA contre la fraude en temps réel

Les systèmes bancaires deviennent intelligents. Un paiement inhabituel à 3h du matin vers les Bahamas ? L’algorithme bloque et vous demande si c’est bien vous. Si ce n’est pas vous, c’est probablement Igor, quelque part en Sibérie. L’IA est de plus en plus intégrée dans les systèmes de surveillance bancaire.


6. Assurance ? Les assureurs haussent le ton !

Vous voulez être couverts ? Il faudra montrer patte blanche :

  • Mises à jour régulières de vos systèmes,
  • Sauvegardes automatiques,
  • Et politiques de sécurité documentées.
    Sans ça, pas d’indemnisation. C’est un peu comme vouloir assurer une voiture sans freins…

En résumé :

👉 Plus de sécurité, oui.
👉 Plus d’obligations, aussi.
👉 Et plus de raisons de mettre à jour vos pratiques digitales dès maintenant.

Tout ça pour dire qu’on a pas le cul sorti des ronces.

Sécurité en ligne : les nouvelles règles du jeu pour les pros (et les PME aussi !)
PS. : Je me suis fait aider de Chat GPT 4 pour rédiger le détail des nouvelles contraintes financières.

Le référencement ce n’est plus d’accumuler des infos, c’est les relier ensemble intelligemment

Dans le tombereau de conneries que j’entends quasi-quotidiennement sur le référencement, beaucoup pensent encore que le référencement se résume à insérer des mots-clés ici et là. En réalité, c’est un système d’organisation de l’information qu’il faut mettre en place. Un bon référencement ne consiste pas à multiplier des points d’information à la con qui se baladent partout au milieu de nulle part, mais à les relier entre eux avec cohérence et logique, comme dans le joli visuel ci-dessous (que j’ai piqué à notre ami Stéphane Chauvin, expert en matière de destion des datas).

Données structurées

Rendre visible l’invisible

Pour suivre son référencement sur Google, c’est devenu infernal. En gros, il faut :

  • suivre l’évolution des mots-clés qui comptent pour toi,
  • identifier les pages qui montent ou chutent,
  • comparer tes positions avec celles de tes concurrents,
  • Et surtout, d’orienter ton référencement en fonction de données réelles.

Prenons un exemple concret :

. Une fiche produit ou une page de présentation simple peut ressembler à ça

Titre : Nos poneys à vendre

Texte : Nous proposons des poneys à la vente. Contactez-nous.

C’est de l’information. Mais aucune relation, aucune hiérarchie, aucun mot-clé ciblé, aucune donnée structurée.


✅ Ce qu’on attend côté Google (et utilisateur/client)

  • Un titre optimisé : « Poneys à vendre en Vendée – Chevaux dressés et éduqués »
  • Un contenu utile : âges, races, tailles, prix, etc.
  • Une structure logique : <h1> pour le titre, <h2> pour les sections, des paragraphes aérés
  • Des données structurées (Schema.org) pour les moteurs : description du produit, lieu, prix, éleveur, etc.
  • Une image bien nommée et optimisée : poney-shetland-a-vendre.jpg avec une balise alt.

Comment relier tout ça ?

  • Ajoute les mots-clés stratégiques que tu veux suivre : “poney à vendre”, “centre équestre Vendée”, etc.
  • Mets en place les actions SEO co-pilotés avec de l’IA.

Dernier truc (que je répète depuis 20 ans) : il n’y a pas un Google, mais autant de Google que d’utilisateurs.

  • Autrement dit : ce n’est pas parce que tu es bien ou mal référencé sur ton téléphone à toi que ton site est bien ou mal référencé (relis cette phrase au besoin).
  • Parler de “référencement” sans données fiables, c’est comme parler météo sans regarder le thermomètre.
  • Pour progresser, on mesure, on structure, on connecte. Et on avance.

L’explicabilité de l’IA : kezako ?

Pourquoi l’explicabilité est-elle si importante ?

L’intelligence artificielle (IA) transforme le monde des affaires et offre des opportunités inédites. Pourtant, son adoption reste un défi, notamment pour les PME. Pourquoi ? Parce que l’IA est souvent perçue comme une « boîte noire » dont les décisions sont difficiles à comprendre. C’est là que l’explicabilité devient essentielle.

Gagner en confiance et en transparence
Comprendre comment une IA prend ses décisions permet de l’utiliser en toute sérénité. Une IA explicable offre de la visibilité sur son fonctionnement et évite l’effet « magie noire » qui freine son adoption.

Se conformer aux règles
Avec des réglementations comme le RGPD, les entreprises doivent justifier les décisions automatisées qui impactent leurs clients. L’explicabilité devient alors une obligation légale.

Améliorer ses outils et ses décisions
Une IA compréhensible permet d’identifier ses failles, d’éliminer les biais et d’optimiser son efficacité.

Faciliter son adoption
Les équipes et les clients sont plus enclins à utiliser un outil qu’ils comprennent. Une IA explicable renforce son acceptation et son utilité au quotidien.

Un enjeu clé pour les PME

Contrairement aux grandes entreprises, les PME ont rarement des experts en IA en interne. Sans une bonne compréhension de ces outils, elles risquent de passer à côté d’opportunités ou de faire des erreurs coûteuses.

Comment je vous aide à apprivoiser l’IA ?

💡 Des solutions claires et accessibles
Je vous propose des outils IA transparents et compréhensibles, sans jargon inutile ni boîte noire.

🎓 Formation et accompagnement
Je vous explique, ainsi qu’à vos équipes, les bases de l’IA pour vous rendre autonomes et confiants face à ces technologies.

🔍 Audit et optimisation
Si vous utilisez déjà l’IA, je vous aide à mieux l’exploiter et à l’améliorer.

📜 Conformité aux réglementations
Je vous accompagne pour que vos outils respectent les règles en vigueur, notamment en matière de protection des données.

Faites de l’explicabilité un levier de croissance

L’explicabilité ne doit pas être vue comme une contrainte, mais comme un avantage. Mieux comprendre l’IA, c’est mieux l’utiliser, la rendre plus efficace et renforcer la confiance de vos clients.

Prêt à adopter l’IA en toute confiance ?
Contactez-moi dès aujourd’hui et avançons ensemble vers une IA plus transparente et accessible.

L'explicabilité de l'IA : kezako ?
L’intelligence artificielle (IA) transforme le monde des affaires et offre des opportunités inédites. Pourtant, son adoption reste un défi, notamment pour les PME. Pourquoi ? Parce que l’IA est souvent perçue comme une « boîte noire » dont les décisions sont difficiles à comprendre. C’est là que l’explicabilité devient essentielle.

Chronologie des mises à jour de l’algorithme de Google début 2025

Chronologie des mises à jour de l’algorithme de Google début 2025
Chronologie des mises à jour de l’algorithme de Google début 2025

Un peu d’histoire, des fois, c’est pas mal ! La mise à jour Helpful Content de Google en 2022 a bouleversé les choses. Elle a mis l’accent sur la création de contenu utile pour les utilisateurs, et non sur les tentatives de manipulation des moteurs de recherche.

Mais vous souvenez-vous aussi de ces évolutions majeures.

De Panda en 2011, qui a combattu le contenu de faible qualité, à BERT en 2019, qui a maîtrisé le langage naturel, en passant par MUM en 2021, qui a apporté la puissance de l’IA multilingue – Google n’a pas chômé !

– Les débuts (2011-2015) : Panda et Penguin ont éradiqué le contenu de mauvaise qualité et le spam.

– Focus local (2016-2018) : Possum et l’indexation Mobile-first ont rendu les résultats de recherche plus adaptés aux localisations.

– Révolution de l’IA (2019-2024) : BERT, MUM et la mise à jour Helpful Content ont renforcé la pertinence centrée sur l’utilisateur.

Et maintenant ? La recherche pilotée par l’IA, avec des résultats intuitifs, riches en contexte et mieux adaptés aux attentes des utilisateurs. Autrement dit, la question posée aujourdhui est : répondez-vous véritablement aux questions des utilisateurs et offrez-vous une expérience de valeur ? Si c’est le cas, vous êtes sur la bonne voie !

L’IA mal utilisée, c’est comme un GPS mal réglé

Depuis qu’on nous bassine avec des robots censés remplacer les humains, on dirait qu’ils veulent nous rejouer un remake de Terminator. Mais relax, la réalité est bien moins flippante (et sans explosions). L’intelligence artificielle, surtout la version générative, c’est pas un T-800 venu te piquer ton job. C’est plutôt un booster, une force discrète mais ultra efficace. Et si, au lieu de te remplacer, elle était là pour te filer un coup de main, faire briller ton équipe et révéler le meilleur de chacun ?

Remplacer ? Sérieusement ? Mauvaise idée.

Petit exemple pour mettre les choses au clair : les commerciaux. Remplacer tout ce beau monde par une IA ? Sur le papier, ça fait rêver. Mais en vrai, c’est un peu comme vouloir faire diriger un orchestre par un robot. Présentation produit, négo, lire entre les lignes… tout ça, c’est un art humain. Et en prime, ça coûterait un bras de concevoir une IA capable de gérer tout ça sans planter. Bref, science-fiction. C’est le syndrome d’Icare : vouloir aller trop haut et se cramer les ailes. Automatiser 100 % des tâches, c’est cher, risqué, et franchement pas rentable. Alors, autant jouer sur les forces de l’IA : t’assister, te soutenir et t’aider à envoyer du lourd.

L’IA : ton joker pour équilibrer le jeu

Dans une équipe, il y a toujours des cracks, des galériens et des débutants. L’IA, c’est un peu le joker du deck : elle vient niveler le terrain sans tricher. Imagine un commercial junior qui, grâce à l’IA, reçoit direct des infos bien calées sur les besoins de ses clients ou des arguments sur-mesure pour son pitch. Ou un manager qui capte, grâce à des données, des tensions qui couvent dans son équipe, et qui apprend à les désamorcer. C’est là qu’elle fait des merveilles : elle t’aide à progresser, à t’améliorer en continu, toujours là, toujours patiente. Pas besoin d’être un expert au départ : elle t’accompagne, étape par étape.

L’IA, ça se pilote

Mais attention : l’IA mal utilisée, c’est comme un GPS mal réglé. Tu finis paumé au lieu d’arriver à destination. Si tu veux que ça marche, faut lui donner un cadre clair, des objectifs précis. Les boîtes qui cartonneront avec l’IA, ce sont celles qui formeront leurs équipes, expliqueront son rôle et l’intégreront comme un outil collaboratif, pas comme un gadget pour virer des gens. Adopter l’IA, c’est pas juste plug-and-play. C’est un vrai shift culturel. Il faut apprendre à tester, ajuster, expérimenter. C’est pas qu’une question de techno, c’est une question de vision et de méthode. Bien intégrée, l’IA devient un levier de créativité et un moteur pour faire monter tout le monde en compétences.

À toi de jouer

L’IA, elle vient pas te piquer ton taf, elle vient te libérer de ce qui te bouffe ton énergie. Face à des montagnes de données, des délais serrés et des attentes toujours plus hautes, elle est ton alliée pragmatique. Elle range, elle organise, elle optimise. C’est pas elle qui va marquer les buts, mais c’est elle qui affine la stratégie et te met dans les meilleures conditions pour briller. Sans elle, les victoires risquent de se faire plus rares. Alors, attrape la balle au bond et transforme ton organisation en machine de guerre de l’intelligence collective.

D’après un texte d’Alain Garnier dans Forbes

Mon expérience d’enseignant au Pôle Universitaire Niortais

En 2018, j’ai eu le privilège de donner quelques cours au Pôle Universitaire Niortais, une expérience à la fois enrichissante et passionnante. Ce centre universitaire, niché au cœur de ma ville, est un lieu vibrant où se croisent savoirs, idées et innovations.

Mes interventions étaient centrées sur un sujet qui me tient particulièrement à cœur : les médias sociaux et leur rôle dans les stratégies digitales. Lors de ces séances, nous avons exploré ensemble les bases du social media marketing, l’importance de l’interaction, et comment transformer ces outils en véritables leviers de croissance pour les entreprises.

Au programme, des concepts théoriques et des applications pratiques :

  • Les fondamentaux des médias sociaux, où j’ai présenté l’importance de l’interaction et de l’engagement.
  • Des stratégies concrètes, comme optimiser sa présence sur Facebook ou générer du trafic via Google My Business.
  • Des exercices pratiques, pour montrer comment référencer efficacement une activité en ligne.

Ce qui rend cette expérience si mémorable, c’est avant tout l’échange avec les étudiants. Leur curiosité, leurs questions, et leur soif de comprendre comment le digital peut transformer leurs projets m’ont beaucoup inspiré.

Pour moi, enseigner n’est pas juste transmettre un savoir, c’est aussi apprendre. Ces moments d’échange au Pôle Universitaire ont renforcé mes convictions sur le potentiel infini des outils digitaux et sur l’importance de bien les maîtriser dans un monde en constante évolution.

Un grand merci à toute l’équipe du PUN et aux étudiants pour leur accueil et leur enthousiasme.

2016 : labellisation #FrenchTech pour Niort


Nous sommes dans la course ! Nous y avons beaucoup travaillé et nous accueillons avec beaucoup de bonheur et de fierté la nouvelle de la labellisation de notre communauté #FrenchTech #AtlanticValley par La French Tech ! Une belle reconnaissance du dynamisme de nos écosystèmes entrepreneuriaux et numériques à Angoulême, La Rochelle, Niort et Poitiers ! « C’est un peu notre étoile au Michelin », témoigne Jean-Christophe Gilbert. Symbolique, avant tout. Le vice-président du réseau d’entreprises du numérique en Poitou-Charentes (SPN) fait référence au label thématique French Tech étendu lundi à 21 territoires, dont le nôtre. Trois ans qu’il attendait ce sésame, signe d’un territoire à fort potentiel de croissance numérique et d’attractivité internationale. « C’est une étape importante dans la reconnaissance de notre filière », défend Vincent Percevault, président du SPN, heureux que « Bercy en soit désormais convaincu. »

Article paru dans La Nouvelle République en 2016

Avec Jérôme Baloge

2016 : labellisation #FrenchTech pour Niort

C’était quoi La French Tech, déjà ?

La French Tech était une initiative entrepreneuriale de portée mondiale, qui était censée contribuer à faire de la France un pays où les start-ups peuvent naître, croître et devenir des entreprises florissantes capables d’avoir un impact positif sur notre pays.

Pour cela, la French Tech a lancé un appel en décembre 2018 pour rassembler les entrepreneurs au sein de Communautés et de Capitales French Tech. Cet appel a rencontré un immense succès, en France et à l’international, et a permis de rassembler plus de 2 000 dirigeants de start-ups, dans tous les territoires de France et à l’étranger. Ensemble, ces nouveaux modèles d’écosystèmes centrés vers les entrepreneurs vont permettre de déployer une feuille de route très ambitieuse, afin de faire de la France le lieu où les start-ups peuvent naître, croître et devenir des entreprises florissantes capables d’avoir un impact positif sur notre pays et le monde.

À l’issue de cet appel, sont aujourd’hui labellisées pour une période de trois ans renouvelable :

  • 13 Capitales French Tech
  • 38 Communautés French Tech en France (dont 2 dans les DOM-TOM)
  • 48 Communautés French Tech à l’international

Les Communautés French Tech, des écosystèmes en France et à l’international, sont des nœuds rassemblant les fondateurs de start-ups, investisseurs, employés et autres parties prenantes de l’écosystème des start-ups. Ces communautés partagent la vision de l’action publique French Tech, la déploient au niveau local et veulent jouer un rôle prépondérant dans la réalisation de ses objectifs à l’échelle mondiale, en favorisant les échanges et les rencontres.

Avoir porté notre candidature en tant que co-président du @Réseau SPN avec le soutien d’un nombre considérable de partenaires, agglos, boîtes, start-ups ou mutuelles d’assurance est une grande et belle victoire collective et un petit peu personnelle. Snif.

Ma modeste contribution à la candidature de Niort au label Métropole French Tech

Contribution de Niort à la candidature au label Métropole French Tech | 2015


Pour répondre à cette saisine, le CDCAN a constitué un atelier composé de 11 participants. L’animation de cet atelier a été conduite par Jean-Christophe Gilbert, Vice-Président du collège Institutionnels et associations du CDCAN.